De quoi ça parle ?
Ce documentaire a été réalisé par un journaliste français, Benjamin Carle, lors de l’année 2013. Son but ? Pendant une année, vivre 100% de made in France. Cela passe par ses vêtements, ses meubles, ses appareils électroménagers ainsi que son alimentation. Pour lui, faire ce changement de mode de vie est réalisable tant que les consommateurs font bien attention à ce qu’ils achètent. Mais également, il décide de tout changer afin de préserver des emplois. Vous pourrez également vous rendre compte du coût et de l’impact que cela a eu sur sa vie quotidienne d’acheter uniquement des produits français.
Des.. consom’acteurs ?
Dans le documentaire, Benjamin (le journaliste), rencontre le ministre de l’époque Arnaud MONTEBOURG. Pour ce dernier, c’est aux consommateurs de faire des efforts pour acheter français, comme il le dit dans cette déclaration que l’on retrouve dans la vidéo : « Si chaque citoyen participe au made in France, à son encouragement, on peut rebâtir une industrie. Pourquoi ? Le producteur a une responsabilité, de relocaliser, pas de délocaliser ; et le consommateur a une responsabilité : c’est d’être citoyen en même temps qu’il est consommateur. Des cosom’acteurs ! ». Vous découvrirez que la France développe des produits bien caractéristiques dans des métiers spécifiques et des entreprises spécialisées. Mais également pourquoi certaines marques utilisent le côté marketing afin de vous faire penser que vous consommez français. Et enfin pour découvrirez sur l’Etat montre l’exemple.
Pourquoi regarder ce documentaire ?
Cette investigation répond également sur ce que l’on peut acheter français mais surtout, quels produits ne sont PLUS français. En effet vous découvrirez comment de grande marque d’origine françaises ne font plus vraiment du made in France.
Je vous invite à regarder ce documentaire, pour comprendre, comment les savoir-faire français de nos entreprises ont été délocalisés. Pourquoi est-il si dur de trouver des produits de tous les jours 100% made in France. Pourquoi notre savoir-faire se fait de plus en plus rare ? Et surtout, pourquoi tous les articles que le journaliste prend dans son expérience sont-ils plus cher ?